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— EDITION & PUBLICATIONS —

TITRE Ma BelleGique #1

— belgian visual poetry

Préface: Philippe Grombeer

64pgs | 21 x 21 cm | created between 2002 & 2013
Home Frit' Home Edition — 2013

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— La majorité des images de ce livre se retrouve dans l'édition complète's de 90 poèmes: Ma Bellegique #2

— TITRE EN SAVOIR+

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— MY ARTWORKS —
INÉDITS
Les projets restés dans mes tiroirs

« Ah ces tiroirs! Je les dĂ©teste. Des rangements coulissants qui renferment tant de projets. Tentatives d’idĂ©es, tests inaboutis, collaborations annulĂ©es, dessins prĂ©paratoires et autres projets avortĂ©s. AbandonnĂ©s. Comme un chien au bord d’une route pendant les vacances. On y revient que trĂšs rarement. Je les dĂ©teste ces tiroirs car, je le sais, des projets magnifiques s’y cachent. Quelque part entre le brol et le bazar. 'Si il a atterri dans ce tiroir, c’est qu’ il n’était pas bon'. C’est souvent vrai. Mais parfois il fallait juste un peu de temps pour qu’il refasse surface et dĂ©voile son potentiel Ă  exister. Certains beaux projets demandent de la patience. Mes tiroirs en sont pleins. J’ai le temps. En voici quelques-uns qui me tiennent au corps. »

Mika

¬ Série de photos-montages en collaboration avec le photographe Michel Clair

55 x 35 cm | projet arrêté | 2020

LA RENCONTRE Amoureux des univers de Michel, toujours vide de prĂ©sence humaine, souvent emprunte d'une grande solitude et d'un silence pesant. Ses photos noir et blanc m'ont toujours inspirĂ©. Je lui ai donc proposĂ© de les habiter avec mes personnages et du coup crĂ©er une histoire autour de ses dĂ©cors. Nous avions commencĂ© la collaboration sur quelques images choisis dans son immense productions. Une sorte de test pour vĂ©rifier que nous Ă©tions bien sur la mĂȘme longueur d'onde. Et ce fut le cas. Ce n'Ă©tait plus des ondes mais un vortex! Malheureusement son dĂ©cĂšs soudain arrĂȘta le projet.​

Aliénation

¬ Bd en collaboration avec l'auteur Thomas Gunzig

Planches tests et étude des personnages

Projet abandonné | 2019

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SYNOPSIS AprĂšs avoir disparu pendant une annĂ©e, Alice, une adolescente revient chez elle. Durant cette annĂ©e, on l’a cru morte. Son retour est une incroyable surprise. Elle va raconter qu’elle a Ă©tĂ© enlevĂ©e par des gens bizarres, mais pas mĂ©chants et qu’elle a fini par parvenir Ă  s’échapper. On lui fait passer des examens mĂ©dicaux. Apparemment, elle est en bonne santĂ©. Mais elle a une Ă©trange cicatrice verticale sur le ventre. On fait une radio, un scanner. Mais on ne voit rien. Mais cette cicatrice cache un secret: un extraterrestre vit Ă  l’intĂ©rieur d’Alice. Un extraterrestre possĂ©dant une technologie capable de le rendre invisible aux examens mĂ©dicaux. Il a Ă©tĂ© implantĂ© par ceux qui ont enlevĂ© Alice: d’autres extraterrestres. Elle vient de passer une annĂ©e complĂšte dans leur monde (la planete Cosantix) et ils lui ont appris que l’univers Ă©tait menacĂ© par un parasite dĂ©truisant les diffĂ©rents mondes, les uns aprĂšs les autres. Ils l’a renvoient sur la terre avec une mission: Ă©liminer un parasite qui a contaminĂ© sa petite ville. «Le Parasite» est une espĂšce nuisible voyageant Ă  travers toute la galaxie et dĂ©truisant les espĂšces intelligentes des planĂštes infectĂ©es. Elle remplace les cerveaux par des larves neuronales capables de faire croire que l’individu infectĂ© n’a rien alors qu’il est dĂ©jĂ  Ă  la merci de la conscience collective du Parasite. L’extraterrestre implantĂ© dans le ventre d’Alice est capable d’identifier les individus infectĂ©s. Alice, aidĂ©e par son extraterrestre interne, va donc devoir trouver et Ă©limer les terriens infectĂ©s. Alice va reprendre l’école et y retrouver deux de ses amis proches Ă  qui elle va rĂ©vĂ©ler la nature de sa mission. Mais bientĂŽt, elle doit passer Ă  l’action, car l’extraterrestre dĂ©couvre que le professeur d’anglais est infectĂ©. Comme la mĂšre d’Alice et aussi son petit frĂšre. Et le sang ne tarde pas Ă  couler. Un policier en fin de carriĂšre et son Ă©quiper putĂŽt brutal sont chargĂ©s de l’enquĂȘte. De son cĂŽtĂ©, Alice n’a qu’une idĂ©e en tĂȘte: retourner sur la planĂšte Cosantyx oĂč elle vĂ©cut durant un an, car elle y est tombĂ©e amoureuse de celui qui fut chargĂ© de la former au combat. Thomas Gunzig

Big Title

¬ Série de photos-montages en collaboration avec le photographe Michel Clair

Les 100 plus beaux voyous

¬ Série de portraits en collaboration avec le journaliste Frédéric Ploquin

2 portraits et histoires tests en vue de l'édition d'un almanac des 100 plus grands gangsters

55 x 35 cm | projet abandonné | 2019

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SYNOPSIS "Des pionniers aux figures les plus contemporaines, voici les cent voyous qui ont fait l’histoire du crime organisé. Un tour du monde en cent visages pour présenter au lec- teur ces gueules qui ont pesé leur poids en or, en cocaïne ou en billets de banque. Les grands bandits français, ceux qui ont pesé dans le milieu, occupent bien sûr une place prépondérante dans ces portraits, de Cartouche à Bonnot, des Guérini à Mesrine. L’autre grande famille est celle des Italiens et de leurs descendants italo-américains, qui ont inventé et déve- loppé la mafia, de Salvatori Guiliani à Carlos Gambino, en passant par Lucky Luciano. La galerie de portraits de ces hors-la-loi serait cependant incomplète si on oubliait les grands noms de la mafia juive, les boss des triades chinoises, les grands mafieux russes, ukrainiens, turcs, serbes, indiens, sans oublier les grandes figures des car- tels latino-américains. Voici les deux premiers portraits de ces plus «beaux» gangsters engendrés par la planète, présentés par Lucas Racasse, fameux serial illustrateur franco-belge. Le panel des hommes les plus infréquentables, dont l’ascension et les méfaits seront contés par Frédéric Ploquin, écrivain et journaliste, spécialiste du crime sous toutes ses formes." F.P.

— JACQUES MESRINE Mesrine n’est pas un voyou comme les autres, d’ailleurs peu d’entre eux voulaient travailler avec lui. MarquĂ© par la guerre d’AlgĂ©rie, il Ă©tait plus proche de Minute que de LibĂ©ration et n’aime pas trop les Arabes. Il est le premier gangster mĂ©diatique de l’époque contemporaine. Monter sur un coup lui importait moins que de faire savoir qu’il Ă©tait montĂ© sur ce coup. TrĂšs vite, il a jouĂ© avec les mĂ©dias. Chercher la lumiĂšre. La publicitĂ©. Quand la plupart des voyous recherchent silence et discrĂ©tion, lui a cherchĂ© la Une. Il lui a mĂȘme pris de tirer dans les pattes d’un journaliste de Minute attirĂ© dans une grotte en forĂȘt. Le tout ponctuĂ© d’un livre dont nul ne sait s’il l’a Ă©crit lui-mĂȘme ou sous-traitĂ© Ă  un co dĂ©tenu : L’instinct de mort. Le milieu s’est encore plus mĂ©fiĂ© de lui. Alors que les autres fuyaient la police, sauf pour traiter avec elle, lui provoquait en duel Robert Broussard, le chef de l’antigang. C’était lui ou le flic. Le premier qui pourrait tirer tirerait. Les flics ont mis le paquet et prĂ©cipiter le face Ă  face mortel. Jacques Mesrine n’a eu le temps de sortir ni son flingue, ni sa grenade. Il est mort dans sa BMW porte de Clignancourt, le 2 novembre 1979. Son chien y est passĂ© aussi. Sa compagne, Sylvia Jeanjacquot, s’est difficilement remise de ses blessures. Sylvia s’en souvient comme si c’était hier. AttablĂ©e devant un chocolat chaud dans un salon de thĂ© parisien chic et calme, sa mĂ©moire est vive Ă  l’évocation de « son Jacques » : « J’ai Ă©tĂ© sĂ©duite par son allure, trĂšs classe, non pas dans les fringues parce que justement il Ă©tait sapĂ© n’importe comment, - une espĂšce de combinaison de plĂątrier, il Ă©tait en cavale tout de mĂȘme !- Ca, je le saurai plus tard. Non, c’est son air de gentleman que j’ai aimĂ©. Il est venu vers moi Ă  plusieurs reprises, il voulait m’offrir un verre, que j’acceptais, c’était mon boulot, j’avais pas le choix, lui il prenait son truc Ă  boire, moi ma fausse coupette de champagne. Il me parlait de tout et de rien. Au dĂ©but, je le considĂ©rais comme un client lambda, je le servais et je discutais avec lui, point. Il voulait quand mĂȘme m’inviter Ă  manger, hors du service et loin de Pigalle. AprĂšs plusieurs refus, j’ai fini par accepter de dĂźner avec lui. Et je ne l’ai jamais regrettĂ© ». « Quand il m’a dit qu’il Ă©tait Jacques Mesrine, j’ai pas bien compris. Je lui ai demandĂ© qui Ă©tait Mesrine ! Je devais ĂȘtre la seule en France Ă  l’ignorer, ça l’a un peu agacĂ©. Un jour, alors qu’on Ă©tait installĂ©s dans son petit studio, il pose devant moi un Ă©norme paquet de coupures de presse. Il voulait que je sache tout, tout, tout ! Il avait aussi besoin que j’enregistre les tĂȘtes des flics qui le recherchaient. Il me disait : « Regarde-les bien, il y a des photos, essaye de les avoir en mĂ©moire, on ne sait jamais, au cas oĂč tu les croises dans la rue, qu’ils te suivent.. » J’ai feuilletĂ© beaucoup, j’ai regardĂ© les images, les magazines, des tonnes de magazines. J’ai survolĂ©, il y en avait tellement ! Je recherchais plutĂŽt les faits, les braquages... ce qu’il avait fait. A ce moment-lĂ , je me suis dit : « Je rencontre l’homme de ma vie, je suis vraiment amoureuse, je l’aime, je veux le suivre, et puis, voilĂ , c’est quand mĂȘme un peu embĂȘtant... c’est l’ennemi public numĂ©ro 1 ! Dans ma tĂȘte, ça trotte ; je pense que ça va ĂȘtre compliquĂ©... Avant de le rencontrer, j’avais une vie normale, un travail, un appartement, et avec lui je me doutais que ce serait l’inverse, il avait toujours menĂ© une vie de folie. J’ai acceptĂ© tout en bloc et en mĂȘme temps, je me suis dit : C’est ainsi, il faudra faire avec. Mon chĂ©ri, c’est l’ennemi public...» FrĂ©dĂ©ric Ploquin

— JOAQUIN 'EL CHAPO' GUZMÀN El Chapo est petit, mais il est vaillant. 1,60 m de haut, le « trapu », de son vrai nom Joaquin Guzman Loera, n’en pèse pas moins son poids en billets de banque : 5 millions de dollars. Le montant de sa mise à prix par les autorités américaines après son évasion d’une prison de haute sécurité mexicaine, en 2001, où il était censé purgé une peine de vingt ans. En cavale, ce fils de paysan réputé analphabète, père de neuf enfants issus de trois lits, n’a cessé de gravir les éche- lons du crime, jusqu’à bâtir le plus important cartel du Mexique. Un empire que vantent des dizaines de corridos, ces chansons popu- laires qui tissent des couronnes aux plus grands bandits du pays, sans une larme pour les quelques 80 000 morts, sans compter 26 000 disparus recensés dans le pays depuis 2007 et l’entrée en piste de l’armée contre le narcotrafic. La réalité servant la légende, El Chapo Guzman a grandi dans un petit vil- lage accroché aux montagnes du Sinaloa, au nord-ouest du Mexique. Il fait ses premiers pas au sein du cartel de Guadalajara, avant de pousser, dés 1990, à la création d’une sorte de coupole des parrains locaux. Mais la concurrence est féroce à l’heure de contrôle les routes d’accès vers le marché nord-américain, et il doit se réfugier au Guatemala, où il est arrêté en 1993. Une pause qu’il met à profit pour revenir en force sur le terrain, lui qui fait en 2009 une entrée remarquée dans le hit parade des hommes les plus riches du monde, réalisé par le magazine américain Forbes. Fortune estimée : un milliard de dollars. Dernières trouvailles : des bananes en plas- tique fourrées de cocaïne. De nouveau arrêté en 2014, le « trapu » parvient à s’évader à nouveau en juillet 2015, grâce à un tunnel long de 1,5 km creusé par des complices sous la prison. Un coup spectaculaire qui met à mal la réputation des respon- sables politiques du Mexique, où nul n’ignore la grande porosité qui pré- vaut entre les narcos et les services de l’Etat, à commencer par la police et l’armée. ​ « Je fournis plus d’héroïne, de méthamphétamine, de cocaïne et de mari- juana que n’importe qui d’autre dans le monde », se vante-t-il auprès de l’acteur américain Sean Penn, venu le rencontrer dans son ranch perdu au milieu de la jungle mexicaine. « J’ai une flotte de sous-marins, d’avions, de camions et de bateaux ». Une forfanterie que le baron aurait du garder pour lui si l’on en croit la suite des événements : la visite de l’acteur a permis aux services de renseignement de localiser El Chapo dans l’Etat de Durango. La fin est une question de jours, et cette fois, le Mexique ne va pas hésiter à l’extrader vers Ne-York, la justice américaine le soupçonnant de tenir pas moins du quart du marché de la drogue dans le pays. Il reste au fils de paysan devenu milliardaire de la came à transformer son procès en tribune, ce qu’il s’emploie à faire durant quatre mois, à partir de novembre 2018. Cible : les autorités mexicaines, qu’il est bien placé pour savoir corrompues, en particulier l’ancien président Felipe Calderon et son successeur Enrique Pena Nieto, à qui l’ancien patron du cartel du Sinaola affirme avoir versé des millions de dollars. Crédible, mais improuvable." FrĂ©dĂ©ric Ploquin

KISS

¬ Juste des baisers d'amour

110 x 62 cm | projet abandonné | 2017

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LE PITCH À force de peindre des tyrans, des politiciens vĂ©reux et autres experts en saloperies humaines, je me suis dit: "Tiens, et si je faisais des portraits d’amour?". Au bout de deux, seulement, l'ennui me submergea.

Monster in love

¬ Série de portraits |  Les dictateurs et leurs femmes

110 x 62 cm | projet abandonné | 2013

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LE PITCH Et si les grands dictateurs de l’histoire avaient choisi l’amour plutĂŽt que la violence? Que seraient-ils devenus s’ils avaient façonnĂ© des poĂšmes plutĂŽt que des rĂ©gimes oppressifs, tendu la main plutĂŽt que levĂ© le poing? L’amour aurait-il pu transformer ces figures sombres en crĂ©ateurs de beautĂ© plutĂŽt qu’en architectes de cauchemars? Une rĂ©flexion oĂč la puissance crĂ©atrice supplante celle de la destruction — Ă  mĂ©diter.​

Les aventures de Yan Nemo

— 'Le mystère Kosantix' | bande dessinée (projet abandonné)

assisted by Robin Yerlès (3d operator)

21 x 34 cm | projet abandonné | 2008 > 2013

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LE PITCH Les aventures de Yan Nemo, c’est avant tout une saga. Avec son hĂ©ros, son hĂ©roĂŻne, un comique, le mĂ©chant, sa femme et ses enfants, des tueurs, des empoisonneuses, des chasseurs de primes, des cyborgs, des ninjas, des cow-boys, un prĂȘtre, un dĂ©peceur, des journalistes, des virus vivants, ... Vous l’aurez compris les aventures de Yan Nemo sont une parodie des films hollywoodiens, blockbusters et autres platitudes cinĂ©matographiques. Tous les clichĂ©s sont là, en abondance en surabondance. Avec des dialogues parfois cinglants, parfois philosophiques, parfois marrants, mais souvent consternants de bĂȘtise! ​ Ce projets fĂ»t commencĂ© en 2008, abandonnĂ©, repris en 2012, et re-abandonnĂ© en 2013. Ici les premiĂšres planches inĂ©dites et les Ă©tudes prĂ©paratoires rĂ©alisĂ©es, comme souvent, Ă  partir de mes amis.

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Lucas Racasse - visual creator
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